Selamat pagi di Borobudur
Aujourd’hui réveil matinal à 4h30 pour profiter du lever de soleil au Borobudur. On avance vers le temple dans la nuit au son de la prière. La monté dans le noir dans cet immense bâtiment de pierre dégage une ambiance étrange et appaisante, très différente du défilé de parapluie de la veille.
Il fait noir et la ballade dans le temple n’en est que plus agréable. L’aube pointe, le jeu alterne entre réglage de l’appareil photo, éviter de voir apparaîtres des inconnus sur les photos et cache cache avec la brume…
Une vingtaine de personnes attendent le levé du soleil ce qui est très raisonnable. Quand certaines sont là pour faire des photos de modes, d’autre ont une démarche plus spirituel et profite de ce lieu pour prier. Il y a aussi un groupe d’étudiants Javanais venu valider leur court d’anglais en discutant avec les touristes et aussi ramener une photo souvenir en posant avec eux.
La brume s’étant elle aussi lever, nos espoirs de rouge et d’orangé ne seront pas complètement comblés mais là on commence à jouer les difficiles. De plus, monsieur Merapi à décider nous faire grâce de sa présence en crachant son panache de fumé.
Enfin, il est déjà 6h30 et comme ce soir nous devont être à l’est de Java pour dormir au pied du Bromo il faut penser à prendre la route… 14 h sur les routes Javanaise pour environ 500 Km et quelques sérages de fesses en perspective… Donc on s’enfile un petit déjeuné Gargantusque et direction Solo pour 3 heures de route ou une correspondance nous attend pour partir à 11h. Normalement ça doit passer…
Au bout d’une heure de route, roue crevé… Il faut compter 10 minutes pour réparer quand ont à le crique, la roue de secour et de quoi démonter tout ça. Pour le crique on a, par contre rien pour démonter la roue… De toute facon ce n’est pas grave car la roue de secours et elle aussi crever… Là, ça se complique…
Le chauffeur démonte la roue avec l’aide d’un réparateur de moto. Ce dernier la pause sur la selle de son scooter s’assoit dessus et disparaît. 10 minutes plus tard, le revoilà sans roue, il emporte le chauffeur. 30 minutes passent, on est sur le bord de la route. Peu après, le scooter revient avec chauffeur et pneu neuf… La roue est remontée et on repart. Un pit stop de 3/4 heures et un retard à rattraper.
Au final, le bus nous à attendu et nous partons pour un long, long trajet jusqu’à Cemoro Lawang… Au pied de la caldéra du Bromo.
les voitures c’est comme les camions , ça peut crever et etre sans roue de secour.toujours de belles choses a voir. bizzz.
nice ! (le temple)
no comment. (le pneu)
bonne suite !
encore un motard qui aide tout le monde ! allez les gars l aventure ne fais que commencer. bonne route
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